…en dehors de ceux empruntés à des réalisateurs étrangers au club.
OK, c’est un rappel, mais il n’est peut-être pas inutile.
Le club ne programme PAS :-des rushs, sauf éventuellement quelques minutes pour situer un évènement inattendu ou faire part de problèmes techniques à la prise du vue ou à la projection.
-des films exclusivement familiaux (mariage, baptême,..) sauf s’ils sont scénarisés et de courte durée (ex. :petite fiction avec enfants).
Le club encourage la projection de films en ‘première vision’, c'est-à-dire le film que l’auteur ne considère pas comme achevé . Car il est évident qu’il est parfois difficile d’avoir la volonté de transformer un film que l’on a déjà sonorisé avec soin, commentaire et musique.
Il est toujours souhaitable que le court-métrage soit décortiqué. Nous l’avons déjà dit, ce travail peut être préparé par un ou deux membres avant une réunion.
Si le réalisateur est réceptif aux critiques constructives, une deuxième présentation, voire une troisième, du film après les modifications suggérées va de soi.
Le but final pour le club, c’est de voir la réalisation d’un film de 1 à 20/25 minutes maximum qui puisse être présenté à et apprécié par un public étranger au club. Donc, lors d’un gala, à un club ami ou à toute autre association. Et si la qualité du court métrage le mérite, entrer en compétition qu’elle soit provinciale, nationale ou sur un thème particulier. Il faudra bien entendu s’entendre sur cette notion de qualité !Tous les genres sont admis, même vivement encouragés. Il faut bien admettre que le film de voyage aura toujours la cote chez le vidéaste amateur. En voyageant, on a forcément un sujet tout trouvé même s’il n’est pas toujours simple d’en retirer une œuvre exceptionnelle.
Un voyage en groupe amène parfois des sollicitations. Des participants souhaiteront revivre le périple par l’image, quoi de plus normal. S’ils ont sous la main un caméraman qualifié pourquoi ne pas en profiter, voire en abuser ! Un reportage de 45 ou 60 minutes où ‘on les voit de temps à autre’ ne va pas les effrayer. Le lourd travail de dérushage de 3 ou 4 heures de prises de vues, un montage même un peu laxiste et une longue sonorisation laisseront-ils encore au réalisateur la volonté de revoir tout son schéma pour la création d’un film de 20 minutes pour un autre public ?C’est pourtant bien le but du club : pouvoir disposer d’un petit stock de courts-métrages prêts à l’emploi.
Albert
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