Le Club de Wavre perd un de ses membres les plus éminents.
Nous avons en effet le triste devoir, doublé d'un grand chagrin personnel, de vous annoncer que notre très cher Ami
Jacques Renaut
nous a quitté inopinément hier matin.
Bien que de santé fragile, celle-ci ne pouvait faire entrevoir une quelconque inquiétude, un léger mieux s'était dailleurs manifesté ces derniers jours.
Les funérailles auront lieu, suivant le voeux de la famille, dans la plus stricte intimité.
Mais un dernier hommage peux être rendu à Jacques, au funérarium Tilmant 68 rue Adelin Colon à Wavre, les mardi 28 juillet, mercredi 29 et jeudi 30 de 16h00 à 19h00.
A Marie-Jeanne, à son fils, à sa belle-fille et à ses petits enfants, nous présentons nos condolèances attristées et le témoignage de nos regrets les plus vifs.
Pour le Royal Caméra Club de Wavre.
Jean F. Plas
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Jacques.
Nous l’avions certes trouvé souffrant lors du dernier Provincial au cours duquel il nous avait présenté deux excellents films : ‘Au pays des femmes rouges’ et ‘Lieu de rencontres’ ; ce dernier primé lors du National.
Jacques fut pendant plusieurs années un président dévoué et dynamique du Caméra Club de Wavre. Rares furent les présidents qui aidèrent aussi efficacement à la réalisation des films des membres de leur club. Si un conflit interne lui fit quitter momentanément le club de son cœur, Jacques resta très attentif à conseiller ses amis et les réalisateurs débutants. Doué pour la prise de vues, méticuleux lors du montage, il mettait un point d’honneur à soigner ses commentaires qu’il interprétait personnellement. Il fut un champion du film de tourisme et un gentleman. Marie-Jeanne, son épouse, fut une collaboratrice parfaite.
Nous avions commencé pratiquement ensemble nos participations aux concours de la Fédération. J’ai retrouvé en album du club le programme des meilleures réalisations du concours provincial de 1974 présentées en Gala à l’Auditorium Mail à Uccle : ‘Ronde’ de Fraikin et T’Joen, ‘Les poupées’ de M. Liénard (pas
de parenté), ‘La dupe’ de Smulevic, ‘Le monstre’ de Radoux, ‘Bâli, ile des dieux’ (époustouflant) de J. Renaut et mon’Sois érotique’.
Il n’est pas souhaitable de cultiver la nostalgie mais il est précieux de garder de bons souvenirs de ces amis disparus.
Adieu Jacques, ‘notre’ cinéma te doit beaucoup.
Albert .
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