Voici ce que nous en dit Jules:
Le petit reportage sur cette transhumance n'a pas été préparé. J'ai été le premier surpris de l'importance du troupeau. Je n'arrêtais pas de filmer, ne sachant pas quand cela se terminerait. Puis, malgré que j'avais la charge d'un groupe d'élèves-aquarellistes, j'ai suivi le troupeau jusqu'à ce que, oh miracle, on lui fasse faire halte. Mes stagiaires ont bien cru qu'il m'était arrivé malheur.Il m'arrivera sans doute encore de faire l'un ou l'autre petit reportage sans ambition mais c'est dans le montage que je trouverai le plus de plaisir. C'est en effet dans le montage que je puis le mieux faire passer mes émotions, mes réflexions, mon sens du rythme et mon besoin d'harmonie.
Voici, en avant-première, quelques extraits de son film.
3 commentaires:
Avec tout le respect que je dois à l'artiste, j'ai regretté l'absence de gros plans dans cette "mise en bouche", restons à la "Brouette" encore un instant! De bonnes têtes de brebis et/ou de berger, ou encore de spectateurs auraient rythmé le défilé tintinabulant du cheptel. Je ne verrai pas le film à la prochaine réunion et je le regrette déjà (abonnement théâtre oblige) Je lui souhaite un beau succès.
Amicalement.
La faute sans doute au monteur anonyme qui a réalisé cette bande de lancement...
c'est pas beau de commenter anonymement, moi cela me perturbe, me déstabilise...allez...Sforza Corsica!
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